Charrier

Batteur d’Or dès le 17e siècle, puis repris par Robert Charrier en 1930, nous avons su traverser les époques et garantir une aux utilisateurs les plus exigeants dans les métiers d’art et alimentaires, une qualité irréprochable.

Aujourd’hui, Charrier est le leader français sur le marché de l’Or alimentaire et nous souhaitons partager au plus grand nombre notre expertise tant sur nos produits destinés à la dorure qu’à l’alimentaire.

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L’or est considéré dans la tradition comme le plus précieux des métaux. Il fascine l’Homme grâce à ses nombreuses vertus et caractéristiques uniques.

Originellement sous forme de minerai, l’Or peut se transformer en diverses formes grâces à différents procédés qui requièrent une grande précision.

Les produits Charrier sont fondus, laminés, battus et coupés, dans le but de vous proposer un Or d’une qualité et d’une finesse extraordinaire.

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La fabrication des feuilles d’Or

L’alliage

L’Or Pur est d’abord fusionné avec du cuivre, de l’argent, du palladium et d’autres métaux précieux à une température de plus de 1200°C. Il existe une infinité d’alliages possibles, et chacun donnera naissance à un titre en carat et une couleur d’Or unique. Les différents métaux, une fois fondus et mélangés scrupuleusement, vont former l’alliage qui, après avoir été placé dans un moule et refroidi, prendra la forme d’une barrette.

La lamination

La barrette d’environ 1cm d’épaisseur va passer entre deux cylindres qui vont l’affiner maintes et maintes fois afin d’obtenir un ruban de plusieurs dizaines de mètres de long (l’Or est un des métaux les plus ductiles au monde). L’objectif est d’atteindre une épaisseur d’un millimètre pour pouvoir passer à la prochaine étape de fabrication.

Le battage

La fine bande d’Or est ensuite découpée en petits carrés qui vont être placés entre des couches d’intercalaires. Vient à présent le battage qui est dorénavant effectué automatiquement (le battage manuel était encore présent une vingtaine d’année auparavant). L’Or va être battu ainsi, jusqu’à ce qu’il atteigne une finesse de l’ordre d’un dixième de micron

La découpe

A l’aide d’un emporte-pièce à une taille précise (généralement 80x80 mm), les feuilles sont coupées à la main et entreposées entre deux feuilles de soie, toujours manuellement, ce qui forme le carnet (Un carnet contient, à l’accoutumé, 25 feuilles d’Or).

Ce procédé est aussi utilisé pour fabriquer nos feuilles d’Argent, de Cuivre, de Palladium et d’Aluminium.


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